24 février 2010

Soon : Marsupilami in London.

Ce petit machin move to London, guys.
See you on tuesday (monday si je suis d'attaque) !

To do list :
- Ramener de la marmelade d'orange amère (Oh oh, le jeu de mot pourrave) Done.
- Un tee-shirt The Ramones, The Who, I London (que c'est original), Etc.. Done.
- Faire la paparazzi in London. Done.
- Jouer sur la guitare d'Elvis. Dooooooone !


On va se sentir inspiré pour dessiner un peu. Quelques bandes sympa seront ajoutées. Moua ha ha !


Note : Ne jamais manger chez Mamie gâteau durant une période de régime. C'est une expérience à ne surtout pas (plus) tenter.. *Buurp*

Music'

22 février 2010

Bring me to life


Je ne comprenais pas en quoi exactement consistait le suicide et surtout dans quelle mesure la volonté intervenait dans cet acte ; Je me demandais par exemple si les femmes que le radjah de mon livre à images avait tuées ou fait tuer étaient ou non des suicidées, jusqu'à quel point elles avaient été consentantes, jusqu'à quel point on les avait forcées.
La seule chose claire que je percevais, c'est le mot "suicide" lui-même, dont j'associais la sonorité avec l'idée d'incendie et le forme serpentine de l'épée kriss, et cette association s'est tellement ancrée dans mon esprit qu'aujourd'hui encore je ne puis écrire le mot SUICIDE sans revoir le radjah dans son décor de flammes :

Il y a l'S dont la forme autant que le sifflement me rappelle, non seulement la torsion du corps près de tomber, mais la sinusoïdalité de la lame ;
UI, qui vibre curieusement et s'insinue, si l'on peut dire, comme le fusement du feu ou les angles à peine mousses d'un éclair congelé,
CIDE, qui intervient enfin pour tout conclure, avec son goût acide impliquant quelque chose d'incisif et d'aiguisé.

Je constate donc que, si vague que fût ma notion de la mort (elle n'étais plus pour moi que cette pure allégorie : un squelette armé d'une faux), j'avais du moins quelque idée de ce qu'est la mort violente :
Être foudroyé, ou suicidé .


20 février 2010

In the Moonlight


Chacun son tour j'ai envie de dire.

Il est vrai que j'ne fais rien pour arranger les choses. Je n'fais même pratiquement rien à proprement parler.
Plus de communication, plus d'action, plus de présence.
Regarder les choses se faire, rester impuissante. Une impuissance volontaire d'un côté. Seulement cette attitude je-m'en-foutiste n'est pas des plus appréciée au sein d'une famille soit-disant unie. J'étouffe. Et je reste cloitrée dans cette pièce de 15m². Suffisant, me direz-vous. Véridique en effet, pour moi-même en tout cas. Je suis un fantôme. Au lieu de s'avouer vaincu, on évite les obstacles, on ne les affronte jamais. Cela peut être grisant, sauf qu'il faudra bien s'attendre à une retombée. Se retrouver au pied du mur, en somme.
Et ça peut être très très douloureux.
Alors à quoi bon être lâche, renier les faits jusqu'au bout, qui sème le vent récolte la tempête.
Arrête de te voiler la face, et affronte la réalité en face. Remets-toi en question, car tu es en train de complétement rater ce à quoi tu était destinée. Hum, destinée ? Nous n'irons pas jusque là. Mais tout simplement sa vie. Et cela peut être extrêmement regrettable. Alors réagit. Bouge-toi. Avance. Ne stagne pas.


Non, je ne regrette rien.

18 février 2010

Insomniac

La soit-disant inspiration que l'on dit posséder ne me vient que lorsque je sais que je suis la seule éveillée, ou encore debout. Soit tard dans la nuit ou à l'aube. Une bougie pour toute compagnie, un sentiment de bien-être dans cette maisonnée endormie. Lors d'insomnie, il n'y a que durant cette courte période que l'on a l'impression de mettre à profit toute l'énergie que l'on aurait pu dépenser dans la journée dans cette petite labeur fort plaisante. Une auto-autosatisfaction, et une envie différente. Une façon de voir les choses autrement, sous un autre angle, et s'apercevoir oh combien on peut foncer dans le mur suivant le chemin que l'on emprunte. Fort heureusement, il est toujours possible de revirer de bord, et se concentrer sur certains objectifs. Les primordiaux, ceux qui aboutiront, d'une façon ou d'une autre, au prix d'efforts importants et constants. Il en résultera une certaine quantité d'heures de sommeil à rattraper, mais bouah, donnons-nous les moyens d'y parvenir.. HA HA !

La théorie du pot de confiture et des deux verres de vin.

Du manouche, une outro, de la composition, de la dissertation, de l'improvisation, de la biographie, du désordre, de l'initiation, de la découverte, des paroles, de la réflexion, un sourire, un clin d'œil, un film, et surtout,__de l'Amour.
Car je suis raide dingue de toi.


Le premier jour du reste de ta vie.


Quand la terre tourne, tu tournes avec elle.

Chaque période de notre vie a son importance. Chacune te marque plus ou moins, et tes souvenirs n'en sont que plus fournis. Et le temps passe si vite, qu'au plus tu grandis/vieillis, tu le vois défiler à une allure folle. Alors n'attends plus, profites de ces moments, de la vie, qu'elle soit clémente ou non, qu'il y ai des jours sans, où tu devras bien faire avec. La vie est un cadeau, il faut bien s'en rendre compte. Et elle est tellement courte.. Alors vie-là à fond, ne te morfond pas sur ton sort, cela ne servirait à rien, et tu passerais à côté de moments inoubliables. Il suffit de rien pour trouver un bonheur, mais encore faut-il en avoir l'envie.
Alors vie, vie tes passions à fond, aime, comme si c'était le dernier jour, joue, respire, et souris. Oui souris à la vie. Car tôt ou tard, elle te le rendra.

Et une fois que tu l'aura compris, tu la verras totalement différemment..

17 février 2010

My name is Woodstock


« Trois jours de paix et de musique. Des centaines d'hectares à parcourir. Promène-toi pendant trois jours sans voir un gratte-ciel ou un feu rouge. Fais voler un cerf-volant. Fais-toi bronzer. Cuisine toi-même tes repas et respire de l'air pur »

Music'

9 février 2010

On The Road


J'ai une certaine envie d'évasion.
Ça traine ces derniers temps, ça se fait clairement sentir.
Peut-être est-ce cette sortie d'exam blanc qui aura réduit les neurones en bouillie. La certitude d'avoir foiré la plupart des matières abordées. Les vacances qui arrivent un peu vite, alors qu'on été habitué à les accueillir beaucoup plus tard. Voir des choses que l'on aurait bien oubliées ressortir. Et que l'intéressé reprenne un semblant de contact avec vous durant la même période.
Comme une incompréhension totale, une envie que tout ça s'arrête. Mais en relativisant tu t'aperçois que c'est du passé, que t'as bien changée, sur beaucoup de points. Mais était-ce obligé de te suivre ? Non plutôt, étais-tu obligée d'ouvrir ta gueule ? Voilà une autre question. Qui est surement la plus plausible. Ce qui est fait est fait, n'en parlons plus ?
J'ai de quoi me raccrocher, oublier. Des passions, des objectifs fixés toujours plus haut, réalisables, mais au prix d'efforts importants. Des personnes, un entourage plus que satisfaisant. Tu retrouves d'anciennes connaissances, rencontres des nouvelles, qui deviennent peu à peu une bande qui n'te quitte plus. Mais on a toujours conservé les anciennes valeurs. Les premiers comme on dirait. Puis y a eu Lui surtout. Ce p'tit bout d'homme, avec qui j'suis merveilleusement bien. Mais j'vais pas faire de romans, je garde cela pour plus tard.
Je partirais donc, dans mon van de hippie, relooké comme il se doit, à parcourir la route 66 durant ces grandes summer's vacation. Un sentiment de liberté, un retour aux sources. Il en faudra peu, une guitare, des pancakes et le tour est joué.
J'suis née à la mauvaise époque. j'aurai voulu connaitre les débuts du rock'n'roll, reprendre ces morceaux mythiques alors que les artistes étaient encore vivant, revivre les festivals de musique euphorisant et ne se soucier de rien. Juste sentir le son d'une basse résonnant dans les graves, une caisse claire qui te ruine les tympans, une gratte s'affolant sur des solos interminables. Ne cherche pas plus loin.
J'irai donc, dans mon van vw t1 tagué de ☮, en charmante compagnie, at the sunshine, en oubliant tout. Oui, de l'évasion, c'est ce dont j'ai besoin en ce moment. Pas refaire le monde (Quoi que..) Mais repartir sur des bases qui n'ont jamais existé. Pouvoir le crier et démolir, détruire, ce qui m'a retenu jusque là.

On va repartir sur du neuf, tout oublier.

Et (re)Vivre.