26 octobre 2010

Si l'on mettait en place un impôt sur la connerie, on comblerait laaargement le déficit budgétaire de l'État.

25 octobre 2010

MR. BROWN
"Like a Virgin" is all about a girl who digs a guy with a big dick. The whole song is a metaphor for big dicks.

MR. BLUE

No it's not. It's about a girl who is very vulnerable and she's been fucked over a few times. Then she meets some guy who's really sensitive

MR. BROWN

Whoa... whoa... time out Greenbay. Tell that bullshit to the tourists. It's not about a nice girl who meets a sensitive boy. Now granted that's what "True Blue" is about, no argument about that.

MR. ORANGE

Which one is "True Blue?"

NICE GUY EDDIE

You don't remember "True Blue?" That was a big ass hit for Madonna. Shit, I don't even follow this Tops In Pops shit, and I've at least heard of "True Blue."

MR. ORANGE

Look, asshole, I didn't say I ain't heard of it. All I asked was how does it go? Excuse me for not being the world's biggest Madonna fan.

MR. BROWN

I hate Madonna.

MR. BLUE

I like her early stuff. You know, "Lucky Star," "Borderline" - but once she got into her "Papa Don't Preach" phase, I don't know, I tuned out.


*

20 octobre 2010

Putain de merde

Fuck off. Fuck it. Fuck. Fuck. Fuck. What kind of bullshit. Dickhead. Shit. Damm it. Fuck. Fuck. Fuck. Puta madre. Fuck. Mother fucker. Fuck. Fuck. Fuck.

Et comment je fais moi maintenant. Je vais partir, ouaip. Mais je sais même pas si ce que je veux faire me correspond vraiment. Je sais pas ce que je veux faire de ma vie. Pas encore. Laissez-moi encore un peu de temps. Encore un peu de temps...
Tout va trop vite, trop vite.
J'ai beau essayer de profiter de tous les instants qui s'offrent à moi, j'ai toujours malgré moi cette vision de la fin, que tout s'arrête bientôt, qu'à partir d'un certain moment plus rien ne sera comme avant. Je savoure chaque jour qui passe de cette année. Car je sais que l'année prochaine, ce jour-là, tout sera différent.
C'est excitant et inquiétant à la fois.
L'anxiété me ronge. Mais pas que. La culpabilité, l'ignorance, la peur que certaines choses prennent fin, qu'elles soient remplacées par d'autres. Mais beaucoup de choses vont prendre fin, de toute façon. Le début de la fin. La fin du début. Tout va recommencer, un nouveau départ. C'est flippant.
Le premier jour du reste de ta vie.
Nan quand même pas. T'exagères pas un tout p'tit peu ? Si. Ou non. Je n'sais pas. Je n'sais plus à vrai dire. Je veux tellement de choses à la fois. Tu n'peux pas tout avoir, tu n'peux pas tout faire. Il y a des choses que tu vas obligatoirement laisser. Ça va trop vite, beaucoup trop vite.
J'aimerais que quelqu'un m'attende quelque part.
Je veux partir d'ici. Mais l'emmener. Je m'y prends beaucoup trop tôt. Mais dans moins de 8 mois tout est fini. Pratiquement fini. Je me casse d'ici. Je pars à l'aventure, à la découverte de la vie. Ça va faire bizarre. Trop d'autonomie. C'est dans longtemps pourtant. Relativement. Mais je n'peux pas m'en empêcher. C'est plus fort que moi. Tous les jours je me projette, me demande ;
"Et si ? Et qu'est-ce qui se passera ? Est-ce que ce sera comme ça ?"
Avec des si, on mettrais Paris en bouteille. Ah Paname ! C'est le cas de le dire. Inconsciemment d'ailleurs. Ah, mon cher Freud. Je m'imagine dans une année, est-ce que tout sera pareil ? Sentimentalement parlant.
Je crois que c'est ça qui me pose le plus de problèmes.
Quitte ou double. Si je suis seule, I don't care ! No regrets. Mais si... que va-t-il faire ? Va-t-il être près de moi ? Ou au contraire tellement loin.. Va-t-il toujours me considérer de la même manière ? Va-t-il au contraire, considérer cela comme du passé, et tourner la page, car trop dur ce serait ? Supporterait-il la distance ? Ou viendrait-il près de moi ?
Merde. Je suis une pauvre amoureuse.
C'est frustrant. Qui m'aime me suive. Je veux partir. Je crois qu'il n'a pas les mêmes convictions. On verra bien. Je verrais bien. Je suis quelque peu perdue. Je ne me retrouverais pas toute seule jetée dans la grande ville. Fort heureusement ! L , Tu me sauves la vie. Tu es mon petit sunshine si je puis dire. C'est rassurant. Une coloc. Voilà qui devrait égayer mes soirées d'hiver parisiennes.
Après tout, c'est la vie.
On ne connaît pas son futur. Et c'est pas plus mal comme ça. On est surpris un minimum. Car, la vie est belle. Quand on s'en donne les moyens. Car, on réussi. Quand on a l'ambition. Et qu'on s'en donne les moyens. C'est surement un peut tôt. C'est plus fort que moi. Et ça me pourrit la vie. Malgré moi.

C'est psychédélique.
Masochiste.
Et ça me plaît.

14 octobre 2010

L'humanité engloutit l'équivalent d'une planète et demie

Selon le rapport "Planète vivante 2010" de l'organisation écologiste WWF, rendu public mercredi 13 octobre, l'humanité utilise désormais "l'équivalent d'une planète et demie" pour subvenir à ses besoins, principalement en raison de la "surconsommation" des pays les plus riches.

L'empreinte écologique de l'humanité, c'est-à-dire la surface de terre et le volume d'eau requis pour produire les ressources renouvelables utilisés par la population sur une année, a doublé depuis 1966, ajoute l'organisation. Si rien ne change dans nos modes de consommation, l'humanité aura besoin de "deux planètes par an" en 2030, s'alarme le Fonds mondial pour la nature (WWF).

LES PAYS DU NORD SUR LA SELLETTE

Le WWF souligne le rôle prépondérant des pays les plus riches dans cette évolution en relevant que, toujours sur les données de 2007, les pays membres de l'OCDE, dont font partie les économies les plus riches au monde, "représentaient 37 % de l'empreinte écologique de l'humanité". "Si chaque habitant de la planète vivait comme un habitant moyen des Etats-Unis ou des Emirats arabes unis, il faudrait une biocapacité équivalente à plus de 4,5 planètes pour répondre à la consommation de l'humanité et absorber les émissions de CO2", souligne le texte. "Par contre, si tout le monde vivait comme le citoyen indien moyen, l'humanité n'utiliserait même pas la moitié de la biocapacité de la planète", ajoute-t-il.

Les Emirats arabes unis, le Qatar, le Danemark, la Belgique, les Etats-Unis, l'Estonie, le Canada, l'Australie, le Koweït et l'Irlande sont les pays à la plus forte empreinte écologique, ajoute l'organisation. "La surconsommation du Nord se fait à crédit sur les ressources du Sud", souligne le WWF, dont le rapport relève également qu'"un déclin de la biodiversité est plus élevé dans les pays à faibles revenus".
Le rapport du WWF fait état d'une diminution globale de la biodiversité de 30 % entre 1970 et 2007. Dans les zones tropicales, cette diminution atteint 60 %.

Source : Le Monde

Est-ce que ce monde est sérieux ?

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