25 novembre 2010

Happy Birthday to meeeeeee ! - Tina, il est 00h01, Ta gueule.


Ahah.







Ce truc qui bave là, ben il a 17 ans aujourd'hui.
C'est fou, je me vois encore attraper la queue de mon chat aussi gros que moi. Le temps est un sacré coquin.







Et mon Doudou n'a pas manqué à l'appel !

6 novembre 2010

Mama, it's too hard

J'en ai marre . . .

J'n'ai plus l'ambition de rien, quoi que je fasse c'est réprimandé au plus haut point, on me demande des comptes pour lesquels je n'suis pour rien, on me considère comme inférieure, qui ne sait pas ce qu'elle veut, ignorante de beaucoup de choses, n'ayant pas de but, d'objectif précis. Depuis toujours, on me répète que je manque de rigueur, que je n'suis pas droite, que je ne m'intéresse pas à ce qu'il faut, que j'ai une vision du monde erronée, que j'n'ai aucun avenir, que mes projets sont voués à l'échec. Ce fut le cas pour beaucoup de choses, je l'admet. Que ce soit dans le sport, la musique, ou encore les études, la seule chose à laquelle je me tiens à peu près encore, je n'suis jamais allée jusqu'au bout, voyant bien que c'était perdu d'avance. J'aurai pu nager avec les plus grands, il a fallu que l'ambiance ne s'y prête pas, et que ma taille m'oblige à renoncer à mes ambitions, mon sort étant joué d'avance. J'aurai pu faire beaucoup de choses, mais je n'suis qu'une bonne à rien au fond. J'ai des rêves, des envies d'évasion, d'études dans lesquelles je m'éclaterait, d'autonomie, d'amour, que l'on me dise au moins une fois que j'ai fait le bon choix, ou que l'on soit satisfait de ce que j'ai pu faire ou de ce que j'entreprends.
J'aimerai une petite entreprise qui ne connaît pas la crise.
Je ne suis pas quelqu'un de facile, je n'suis pas facile à vivre, je ne supporte pas que l'on empiète sur mon territoire tant émotionnel que matériel, et peu de personne arrive à la concevoir. Mes ambitions sont jugées vaines et précaires par un grand nombre. Mes progéniteurs ne voient aucun avenir en moins, ils ne me croient pas, ou du moins, plus. Il me trouve puérile de vouloir continuer dans une voie comme celle-là, de croire en quelque chose qui pour eux est révolue ou inimaginable. Ils me jugent rêveuse, croyant à beaucoup de choses, et finalement, ils me disent je n'suis que du vent.
Voilà, ce n'est que du vent.
Du vent, du vent, du vent.
Et j'en pleure, j'y pense, je me dis qu'un jour ils me diront que c'est bien, j'espère du moins. Bien que pour eux ce n'est qu'utopiste que je réussisse. Mais je veux leur prouver le contraire, c'est pour cela qu'il me faut d'abord du temps, de la prise de conscience nécessaire et convenable me permettant d'y arriver. C'est pourquoi il faut que je sois loin d'ici, à ne plus entendre sans arrêt leurs réprimandes et leur mécontentement quant à mes ambitions. Ils ont en marre, autant que moi certainement. Voir plus ? Tout ce que je souhaite c'est être heureuse. Mais loin de tout ça. je me pose beaucoup trop de questions quant à beaucoup trop de choses et ça me nuit bien plus que ça ne m'apporte. Et j'arrive à saturation. Trop de pression, de conneries en réalité.
Je veux partir, loin de tout ça, de cet univers qui ne croit pas en moi, qui me juge utopiste, idéaliste, mais trop loin de la réalité.

J'en ai marre . . .

3 novembre 2010

Parisienne Walkways

C'est tellement doux


Je voudrais partir. Jusqu’à la mer. Allongée sur le sable. Prendre un peu l’air. Et sentir les embruns. Rester encore. Rester jusqu’à, en saler le corps. On serait juste Toi et Moi. Près d’ici ou là-bas. Sans règles dignes et sans foi. Quand tu veux on y va. Toutes les couleurs du ciel. Un plein de bouteilles. Du rhum, du vin, du miel. Quand tu veux on y va. Cachés pas les dunes. Entre terre et mer. Voler un peu de paix. Des refrains à la nef. Bien sûr tu serais là. Moi blotti contre toi. Je te raconterais ce rêve. Quand tu veux on y va. Si on vit cachés. Si on vit damnés. Et si le temps se compte. On frustre nos hontes. Là-bas on peut salir, Là-bas on peut vivre, Là-bas on peu s'aimer, là-bas…
On peut…
être juste Toi et Moi.