27 novembre 2016

90 days they say


Une envie...
Ou tout simplement une occasion qui se présente, une interlude, une parenthèse... Me permettant de laisser courir mes mains entamées sur un clavier qui en aura vu d'autres.
Juste une journée passée à apprécier l'odeur du café moulu, à regarder le chat passer devant la fenêtre, ou encore un rayon de soleil qui daigne pointer le bout de son nez.

Une journée où le repos fut le maître mot.
Coupée du monde. A pouvoir faire le point sur certaines choses et prendre le recul nécessaire sur d'autres.
Il parait que cette remise en question forge ceux qui vont le plus loin. C'est un combat permanent. Une façon de se focaliser sur l'essentiel et de faire table rase de tout le reste. Qui n'est que parasite.

Ce travail sur soi... m'est quotidien. Et encore plus quand j'ai quelques heures pour m'y pencher. Suffisamment de temps pour me faire la réflexion du "comment".
Du chemin pour y arriver.
Pas de place pour les futilités, pas de place pour l'égarement, pas de place pour la pollution mentale et encore moins nerveuse.
Pas le temps de niaiser.

Juste des œillères... les yeux bien rivés sur les objectifs...
Ce "comment" se construit jours après jours, malgré les galères, les petits bobos et ce qui en découle. Les coups au moral doivent être très furtifs. Ne jamais trainer. Ne jamais perdurer car il n'y a pas de temps pour ça.

Se dire que le reste n'attends pas

Les jours passent, le chrono tourne, les limites doivent être apprises et repoussées.
Apprendre à se faire mal, chaque jour un peu plus... Et apprendre à s'armer de patience.
Nous naissons inégaux au niveau des capacités physiques, comme mentales...

Mais... il parait que le travail bat le talent.

Le combat quotidien s'alimente du positif comme du négatif.
Et les pensées en découlent.
Les pensées positives... amènent aux actes positifs.

C'est une question d'état d'esprit.

La seule certitude... Est celle de cette putain de détermination.
Cette notion d'engagement que je me ressasse tous les jours... Cette rage dévorante qui anime l'être.
Cette envie qui grandit chaque jour. Malgré les baisses de forme, malgré ce qu'on pourrait qualifier de performance qui n'est pas forcément au rendez-vous.
L'envie d'aller plus loin, de prouver cette capacité à relever le défi et surcompenser au-delà.

Cette façon de vivre avec ses tripes. 

C'est pas ça qui te fais vivre?
Les tripes. La passion....
Qui te fais danser dans tes mots et jongler avec l'esprit.
Cette chose qui peut te filer les larmes de joie comme de frustration, de satisfaction comme de désespoirs. Les peurs, les doutes, font partie intégrante du processus.... Il suffit d'arriver à vivre avec et les apprivoiser. De devenir plus fort. Et de toujours aller de l'avant....
Il parait que jamais rien ne s'est accompli sans passion.

Pas de répit, pas de trêve.
La Fièvre, quoi.
Pendant des heures...

5 juin 2016

I'm sure it worth it


Pensées positives.

Tu sais, il parait que c'est juste une question d'appréhension de la vie. De vision des choses, et donc d'état d'esprit. Je le répète souvent, ça transcende un être, mais ça aide à se concentrer sur... du positif.
Carrouf était un précurseur.
P o s i t i f
Au fond, qu'est-ce que c'est ? Cela dépend tellement des aspirations personnelles. C'est intrinsèque à chacun, et en même temps universel. Sors ta guitare pour me faire la sérénade de tes ressentis. Mais range ton orgue pour m'entonner ta marche funèbre. 

Mais, la musique adoucie les moeurs.
On entends assez facilement qu'il faut fuir le négatif, et agir comme un héros capable d'endurer des périodes charnières avec force et sang froid. Mais au fond, sommes-nous tous des héros ? Sommes-nous tous capable d'affronter la vie de la façon la plus optimale ?
Et puis, qu'est-ce que l'optimisation, encore une fois ?
Tellement de points dépendant du ressenti.

Il n’est pas nécessaire de faire de grandes choses pour changer le monder...
Au fond il n’y a qu’à se changer soi-même. Une attitude positive et déterminée crée des expériences de vie qui rayonnent, et quand plusieurs d’entre nous se concentrent sur cet objectif, ces pensées donnent naissance à des événements mondiaux positifs.

Ca donne envie, n'est-ce pas ?
Facile à dire.

La même chose se produit quand nous pensons sans cesse à ce qui va mal dans le monde... En se concentrant sur son dégoût de la guerre et des décisions qu’elle implique, on ne fera jamais advenir une paix durable. Même si nous souhaitons la venue d’un monde de paix, vous alimentez le conflit.

Il y a cette notion de pacte de paix avec soi-même
Un amour de la paix et des manifestations positives dans sa propre vie sont une formule beaucoup plus efficace pour instaurer une harmonie durable. Le fait d’être en accord avec soi-même inspirera à parler et agir différemment, ce qui aura un effet domino non seulement sur les gens avec qui nous entrons en contact, mais aussi sur tout le reste. C'est un tourbillon infernal, un cycle, ou plutôt une spirale... positive.

Faire preuve de tolérance.

Voilà un point assez délicat chez nous occidentaux. Mais qui permettrait d'éviter bien des maux.
Faire abstraction de sa petite personne et de ses pseudos principes propres qu'à sa culture et son éducation ne tolérant aucune faiblesse ou médiocrité.
L'élite me dira que c'est une façon de forger. Une façon de construire la personne de façon à ne laisser aucune place à l'échec.

Mais, j'ai apprit que l'échec était la condition du succès.

Sans échec, le succès n’est rien.
Cela va sans doute de soi, mais je dois commencer par rappeler ce point essentiel. Echec et Succès sont les deux versants d’une même pièce. "A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire". Être assuré du succès d’un projet est sans doute le meilleur moyen de ne pas s’en soucier, de ne pas suivre son évolution. C’est en s’efforçant sans cesse de protéger son idée, en la cultivant, en l’enrichissant, en la partageant, qu’on la voit enfin grandir et s’imposer.
Toute réussite mérite une attention particulière.

Il faut savoir jouer aux échecs.

Jouer aux échecs, c’est accepter de prendre des risques, c’est construire une stratégie, anticiper les coups de l’adversaire. Mais c’est aussi, puisqu’il s’agit d’un jeu, accepter l’éventualité d’une défaite. Avoir conscience que l’on peut échouer, et tout faire pour éviter une telle déconvenue. Essayer de comprendre les actions des autres contribuent davantage à l’avènement de la tolérance face à la différence. L’échec est malheureusement mal perçu dans beaucoup de domaines. Mais je n'ai pas envie de parler d'échecs, mais plutôt de leçons.
Churchill disais "Le succès, c'est d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme". Tu vois? Ca rejoint encore cette notion de positif. Et de considérer les petites failure comme des leçons. Tu apprends, tu n'échoues pas. Cela fait partie de la spirale du succès. De l'évolution. Il n'y a pas de ligne droite, toute tracée. Il n'y a que des virages et des choix. 

On oublie trop souvent les tentatives passées.

Shakespeare a dit un jour 
" Je me sens toujours heureux, vous savez pourquoi ? Parce que je n'attends rien de personne...

J'aime mon dicton du bonheur. Ces deux secrets que sont le plaisir et l'oubli.
Ne rien attendre de qui que ce soit, simplement car en face nous avons un être humain avec des forces et des faiblesses, comme nous tous. Un être humain avec des qualités et des tares. Des vices. Et parfois autant d'angoisse et d'anxiété que nous. Une assurance qui se révèle être factice, ou encore une allure sereine parfois liée a sa confiance en sa manipulation.

Nous avons tous connu des déceptions.

Mais ne seraient-elles pas responsables, en grande partie, de notre propre jugement ?
Car l'attente favorise l'idéalisation.
Or l'idéalisation mène forcément à la déception.
C'est pas le monde des Bisounours, dommage.

C'est pourquoi il faut agir et penser en se concentrant sur ce qui est en notre pouvoir.
Ce qui fait que certaines vies soient si mesquines et si peu productives, c’est à cause de cet oubli de vivre dans le moment présent ; Avec un oubli de se concentrer sur ses énergies, ambitions, attention, ou encore son enthousiasme sur le moment actuel.

Peut-être est-ce cela le secret ? Jouir du jour, et ne pas permettre aux soucis et aux appréhensions du lendemain de venir dérober ce qui appartient à aujourd’hui ;


Ce droit inaliénable d’être heureux.