5 juin 2016

I'm sure it worth it


Pensées positives.

Tu sais, il parait que c'est juste une question d'appréhension de la vie. De vision des choses, et donc d'état d'esprit. Je le répète souvent, ça transcende un être, mais ça aide à se concentrer sur... du positif.
Carrouf était un précurseur.
P o s i t i f
Au fond, qu'est-ce que c'est ? Cela dépend tellement des aspirations personnelles. C'est intrinsèque à chacun, et en même temps universel. Sors ta guitare pour me faire la sérénade de tes ressentis. Mais range ton orgue pour m'entonner ta marche funèbre. 

Mais, la musique adoucie les moeurs.
On entends assez facilement qu'il faut fuir le négatif, et agir comme un héros capable d'endurer des périodes charnières avec force et sang froid. Mais au fond, sommes-nous tous des héros ? Sommes-nous tous capable d'affronter la vie de la façon la plus optimale ?
Et puis, qu'est-ce que l'optimisation, encore une fois ?
Tellement de points dépendant du ressenti.

Il n’est pas nécessaire de faire de grandes choses pour changer le monder...
Au fond il n’y a qu’à se changer soi-même. Une attitude positive et déterminée crée des expériences de vie qui rayonnent, et quand plusieurs d’entre nous se concentrent sur cet objectif, ces pensées donnent naissance à des événements mondiaux positifs.

Ca donne envie, n'est-ce pas ?
Facile à dire.

La même chose se produit quand nous pensons sans cesse à ce qui va mal dans le monde... En se concentrant sur son dégoût de la guerre et des décisions qu’elle implique, on ne fera jamais advenir une paix durable. Même si nous souhaitons la venue d’un monde de paix, vous alimentez le conflit.

Il y a cette notion de pacte de paix avec soi-même
Un amour de la paix et des manifestations positives dans sa propre vie sont une formule beaucoup plus efficace pour instaurer une harmonie durable. Le fait d’être en accord avec soi-même inspirera à parler et agir différemment, ce qui aura un effet domino non seulement sur les gens avec qui nous entrons en contact, mais aussi sur tout le reste. C'est un tourbillon infernal, un cycle, ou plutôt une spirale... positive.

Faire preuve de tolérance.

Voilà un point assez délicat chez nous occidentaux. Mais qui permettrait d'éviter bien des maux.
Faire abstraction de sa petite personne et de ses pseudos principes propres qu'à sa culture et son éducation ne tolérant aucune faiblesse ou médiocrité.
L'élite me dira que c'est une façon de forger. Une façon de construire la personne de façon à ne laisser aucune place à l'échec.

Mais, j'ai apprit que l'échec était la condition du succès.

Sans échec, le succès n’est rien.
Cela va sans doute de soi, mais je dois commencer par rappeler ce point essentiel. Echec et Succès sont les deux versants d’une même pièce. "A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire". Être assuré du succès d’un projet est sans doute le meilleur moyen de ne pas s’en soucier, de ne pas suivre son évolution. C’est en s’efforçant sans cesse de protéger son idée, en la cultivant, en l’enrichissant, en la partageant, qu’on la voit enfin grandir et s’imposer.
Toute réussite mérite une attention particulière.

Il faut savoir jouer aux échecs.

Jouer aux échecs, c’est accepter de prendre des risques, c’est construire une stratégie, anticiper les coups de l’adversaire. Mais c’est aussi, puisqu’il s’agit d’un jeu, accepter l’éventualité d’une défaite. Avoir conscience que l’on peut échouer, et tout faire pour éviter une telle déconvenue. Essayer de comprendre les actions des autres contribuent davantage à l’avènement de la tolérance face à la différence. L’échec est malheureusement mal perçu dans beaucoup de domaines. Mais je n'ai pas envie de parler d'échecs, mais plutôt de leçons.
Churchill disais "Le succès, c'est d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme". Tu vois? Ca rejoint encore cette notion de positif. Et de considérer les petites failure comme des leçons. Tu apprends, tu n'échoues pas. Cela fait partie de la spirale du succès. De l'évolution. Il n'y a pas de ligne droite, toute tracée. Il n'y a que des virages et des choix. 

On oublie trop souvent les tentatives passées.

Shakespeare a dit un jour 
" Je me sens toujours heureux, vous savez pourquoi ? Parce que je n'attends rien de personne...

J'aime mon dicton du bonheur. Ces deux secrets que sont le plaisir et l'oubli.
Ne rien attendre de qui que ce soit, simplement car en face nous avons un être humain avec des forces et des faiblesses, comme nous tous. Un être humain avec des qualités et des tares. Des vices. Et parfois autant d'angoisse et d'anxiété que nous. Une assurance qui se révèle être factice, ou encore une allure sereine parfois liée a sa confiance en sa manipulation.

Nous avons tous connu des déceptions.

Mais ne seraient-elles pas responsables, en grande partie, de notre propre jugement ?
Car l'attente favorise l'idéalisation.
Or l'idéalisation mène forcément à la déception.
C'est pas le monde des Bisounours, dommage.

C'est pourquoi il faut agir et penser en se concentrant sur ce qui est en notre pouvoir.
Ce qui fait que certaines vies soient si mesquines et si peu productives, c’est à cause de cet oubli de vivre dans le moment présent ; Avec un oubli de se concentrer sur ses énergies, ambitions, attention, ou encore son enthousiasme sur le moment actuel.

Peut-être est-ce cela le secret ? Jouir du jour, et ne pas permettre aux soucis et aux appréhensions du lendemain de venir dérober ce qui appartient à aujourd’hui ;


Ce droit inaliénable d’être heureux.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Gééénial